«Le plan maintenant pour Lotus est le profit»
Le PDG de Lotus, Jean-Marc Gales, appelle pour demander si je suis libre pour discuter. C’est une évidence. Je commence par demander pourquoi, dans ses chiffres d’enregistrement pour juillet, la Society of Motor Manufacturers and Traders a déclaré qu’un seul lotus avait été vendu via son réseau de concessionnaires britanniques de 19 personnes pendant le mois. Sa réponse est immédiate.
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“C’est étrange. Nous savons que nous avons eu des ventes à deux chiffres en juillet », m’assure l’ancien PDG de Citroen, âgé de 54 ans. «Le Royaume-Uni est un marché où nous pouvons vendre de manière fiable 300 à 350 voitures par an. Mais nous ciblons la production de plus de 2 000 cette année. ”
Pour une vaine comme le lotus, ces chiffres annuels sont respectables. Mais la conception, la fabrication et la vente de voitures de lotus ont été presque non rentables au cours des dernières décennies.
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«Le plan est maintenant le profit», poursuit Gales. «Il y a deux ans et demi, lorsque j’ai pris le relais, les premières priorités se stabilisaient, mettant au courant des produits, en réalisant de nouveaux modèles, puis en flux de trésorerie positif, que nous avons déjà vu dans quelques mois. Ceci est important car cela montre que nous gagnons l’argent que nous dépensons et dépensons l’argent que nous gagnons. Nous ne dépendons plus des injections de trésorerie régulières des actionnaires. ”
Problèmes de qualité? “Nous sommes au top de ceux-ci”, insiste Gales, qui estime que ses réclamations de garantie sont en baisse de 60% il y a deux ans. La main d’oeuvre? «Nous étions à 1 200, construisant chaque année 1 200 voitures. Maintenant, 850 font 2 000 voitures. » Les frais généraux sont en baisse de 40%. Certes, tout le monde travaille plus dur. Mais Gales dit que la main-d’œuvre est plus motivée et plus «peut faire» aussi.
Naturellement, le PDG de Lotus hésite à révéler de futurs plans de produits, mais il convient qu’il a désespérément besoin d’une voiture en volume – presque certainement un SUV – en disant: «C’est un projet intéressant. et un marché intéressant. Je peux très bien imaginer un lotus sur ce marché – un SUV de Lotus qui serait complètement différent des autres. »
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«Ce serait léger. Nous avons ce savoir-faire. Nous avons la spécialisation dans la fabrication de voitures légères qui gèrent, freinent et prennent le circuit comme rien d’autre. Nous y pensons très activement. Nous y travaillons. Mais nous n’avons pas encore pris de décision finale. ”
Mais c’est clair de la façon dont il parle que les coups de vent sont positivement fous de la perspective d’un SUV portant un badge de lotus. Je comprends que ce n’est pas si, mais quand. Plus tôt le SUV sera construit et vendu, plus tôt la légende qui est Lotus peut profiter de bénéfices bien attendus et indispensables.
Que pensez-vous que l’avenir réserve à Lotus? Faites-nous savoir dans les commentaires ci-dessous …