«L’Ulez n’est rien de plus qu’une arnaque cynique et accrocheur»
Je connais une arnaque cynique et accrochent de l’argent quand j’en vois une. Et c’est exactement ce à quoi des millions de chauffeurs automobiles ont été soumis à l’absence du 8 avril, le jour où la taxe de charge d’Ulez 24/7 (zone d’émission ultra-low) a été disposée sur nous.
Pour l’instant, les frais d’arrachement de 12,50 £ par jour ne fonctionnent que dans le centre de Londres et s’applique aux moteurs diesel avant 2015 et aux voitures d’essence d’avant 2006. Mais ma préoccupation est que la capitale sert simplement de banc d’essai avant que les versions modifiées du programme ne soient déployées dans d’autres villes et villes. Après tout, ce qui se passe à Londres aujourd’hui se répète généralement dans différentes parties du Royaume-Uni demain. Gardez tout cela à l’esprit lors du prochain choix d’une voiture.
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• Ulez: tout ce que vous devez savoir
Vous devez juste mordre la balle, accepter et faire face au fait que les gouvernements locaux et nationaux détestent principalement les voitures et les 50 millions de personnes qui conduisent ou y conduisent. La dure réalité est que les politiciens continueront de punir financièrement des chauffeurs de moteurs diesels, de se rendre un peu plus simples sur les utilisateurs de moteurs à essence et, pour l’instant, d’être moins hostiles aux automobilistes dans les véhicules électriques à essence ou, de préférence, pure-électriques.
Bien que le maire du travail de Londres, Sadiq Khan, soit le parrain de la ruse Ulez rentable, ne pas directif, Lib Dem et d’autres conseils adoptant des plans similaires ou similaires pour les riches riches pour leur moi gourmand. Donnez-lui du temps et les frais ULez / fiscalité / raquette fiscale du maire Khan pourraient ratifier des milliards de livres. Il justifie cet exercice de collecte d’argent en essayant de tirer sur les cordes du cœur. Par exemple, une annonce pour l’Ulez portant le nom de son bureau montre une image d’enfants jouant, aux côtés des mots «chaque enfant de Londres respire de l’air toxique». Le transport de Londres, quant à lui, ajoute que sur le patch pollué de Khan, «la pollution atmosphérique stimule le risque de maladie cardiaque et pulmonaire des gens». Selon Khan, ce que nous respirons à Londres est «mortel».
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